Non merci Michel, ça ira.
(oui évidemment faut connaitre deux trois trucs en électricité pour comprendre pourquoi ce montage est tout simplement hallucinant)
samedi 30 novembre 2013
Non merci, Michel.
"Si tu veux je peux t'aider pour ton électricité, j'étais électricien avant d'être prépensionné, d'ailleurs c'est moi qui ai installé les radiateurs électrique chez Louis, enfin chez toi. Donc si tu as besoin d'aide, tu n'hésites pas et tu me demandes, hein."
Non merci Michel, ça ira.
(oui évidemment faut connaitre deux trois trucs en électricité pour comprendre pourquoi ce montage est tout simplement hallucinant)
Non merci Michel, ça ira.
(oui évidemment faut connaitre deux trois trucs en électricité pour comprendre pourquoi ce montage est tout simplement hallucinant)
vendredi 29 novembre 2013
jeudi 28 novembre 2013
A poêle !
Vu que le poêle de mes arrières-grands parents ne pouvait être utilisé tel que, nous avons décidé d'acheter un poêle fonctionnel.
On est plutôt parti sur quelque chose de puissant et de joli, le Petit Godin nous a plu et on l'a finalement acheté en seconde main:
On bouge les meubles et on ouvre le mur et pof:
Surprise: on découvre une ancienne cheminée derrière la cheminée... et ce mur qui ne tient pas, on en a fait des cauchemars de ce trou béant.
L'ancienne nouvelle cheminée a été bouchée et rejointoyée là où il y avait des trous.
En tout cas un grand merci à Piet et Neuneu pour leur aide, sans eux je n'y serais pas parvenu.
Maintenant on n'a plus froid tout le temps dans la maison, le rez a une température de 19°C quand le poêle est en fonction, et ça ça nous change la vie.
mercredi 9 octobre 2013
Comment vas-tu...yau de poêle ?
Vous vous souvenez peut-être du vieux poêle à charbon que j'ai récupéré dans le débarras de mes grands-parents?
Hé bien comme on n'a pas de chauffage et qu'a priori on en n'aura pas avant plusieurs mois j'ai essayé de le remettre en état pour qu'on s'en serve comme chauffage principal.
J'ai donc pris ma brosse métallique et mon papier verré pour faire partir la rouille, un peu d'huile pour faire coulisser les partie mobiles et voilà le résultat:
Alors si quelqu'un a une idée de la marque de ce poêle qu'il me le dise de suite, parce que moi je n'ai rien trouvé le concernant. Je pensais au vu du dessin du dessus et de la devise ci-dessous qu'il s'agissait d'un poêle "La Salamandre" mais apparemment ce n'est pas le cas. "Je brule tout l'hiver sans m'éteindre" serait la marque, ou serait-ce le lys? Le modèle serait 211 241 en tout cas. Les infos que j'ai retrouvé sur ce poêle provenaient toutes de sites néerlandophones, et les indications de réglage sont en néerlandais.
Malheureusement la porte du bas a cassé quand j'ai voulu l'ouvrir...
Hé bien comme on n'a pas de chauffage et qu'a priori on en n'aura pas avant plusieurs mois j'ai essayé de le remettre en état pour qu'on s'en serve comme chauffage principal.
J'ai donc pris ma brosse métallique et mon papier verré pour faire partir la rouille, un peu d'huile pour faire coulisser les partie mobiles et voilà le résultat:
Malheureusement la porte du bas a cassé quand j'ai voulu l'ouvrir...
lundi 7 octobre 2013
Papillon de lumière
On a aussi ajouté quelques fleurs à notre jardin, parce qu'on trouvait que ça manquait de papillons et d'abeilles à un point inquiétant : on a un verger, on est à la campagne et on n'a pas d'abeilles... ça fait froid dans le dos je trouve.
On n'a pas d'abeilles mais on a ça:
Au passage, notez qu'on a une tondeuse à présent:
On a d'abord dû faucher à la débroussailleuse (une affaire je vous jure!, l'ami Neuneu s'en souviendra) pour pouvoir passer la tondeuse.
Chachatte approuve l'herbe coupée
On n'a pas d'abeilles mais on a ça:
Au passage, notez qu'on a une tondeuse à présent:
Chachatte approuve l'herbe coupée
vendredi 4 octobre 2013
Dis Joe, quand est-ce qu'on mange?
Suite du billet précédent, nous sommes à la veille de notre départ en vacance, et là c'est le drame annuel: c'est toujours pendant nos vacance que nos tomates sont bonnes à manger...
Dine et Neuneu en auront profité pendant notre absence, au moins cette année ça n'a pas été un festin pour les limaces!
Alors celle-ci on a pu la manger, et croyez-moi c'était un délice, je suppose que c'est de la noire de crimée, mais je n'en suis pas certain:
La mutante continue de grandir:
Finalement quand on la mangera on sera hyper déçus, elle aura trop mûri.
Ces petites tomates à manger quand elles sont oranges étaient de petits délices:
Un petit passage dans le potager:
Et une pizza à la courgette (du jardin) et poivron, avec de l'oignon du jardin mmmmh.
Dine et Neuneu en auront profité pendant notre absence, au moins cette année ça n'a pas été un festin pour les limaces!
Alors celle-ci on a pu la manger, et croyez-moi c'était un délice, je suppose que c'est de la noire de crimée, mais je n'en suis pas certain:
La mutante continue de grandir:
Ces petites tomates à manger quand elles sont oranges étaient de petits délices:
Un petit passage dans le potager:
Et une pizza à la courgette (du jardin) et poivron, avec de l'oignon du jardin mmmmh.
mercredi 2 octobre 2013
Quand est-ce qu'on mange?
Pour la détente je m'étais fait un petit potager, qu'évidemment j'ai placé au plus mauvais endroit, celui à l'ombre toute la journée... mais bon on apprend de ses erreurs.
Je n'avais pas planté grand chose: des oignons, des échalotes et des oignons rouges; des poireaux; des courgettes et un plan de potiron.
Tout au long de l'année d'anciennes plantations sont ressorties , surtout des patates (quelle misère pour s'en débarrasser!), d'autres n'ont même jamais pointé leur nez (le persil, je sais plus quoi faire ... c'est sensé pousser comme de la mauvaise herbe et je ne suis JAMAIS parvenu à en faire pousser).
J'ai récupéré aussi du papa de Vinciane des plants de tomate, comme tous les ans et comme tous les ans il me fait découvrir de nouvelles variétés extraordinaires.
Au mois d'aout voilà ce que ça donnait:
deux courgettes, 5 kilos...
la tomate de fukushima ci-dessous:
...Et des framboises qui ont poussé d'elles même!
Je n'avais pas planté grand chose: des oignons, des échalotes et des oignons rouges; des poireaux; des courgettes et un plan de potiron.
Tout au long de l'année d'anciennes plantations sont ressorties , surtout des patates (quelle misère pour s'en débarrasser!), d'autres n'ont même jamais pointé leur nez (le persil, je sais plus quoi faire ... c'est sensé pousser comme de la mauvaise herbe et je ne suis JAMAIS parvenu à en faire pousser).
J'ai récupéré aussi du papa de Vinciane des plants de tomate, comme tous les ans et comme tous les ans il me fait découvrir de nouvelles variétés extraordinaires.
Au mois d'aout voilà ce que ça donnait:
lundi 30 septembre 2013
Casser la dalle
Nous avons donc des problèmes d'humidité dans la maison.
Pour y remédier j'ai décidé 1) d'isoler la maison par rapport au sol environnant et 2) de placer un drain périphérique. Pourquoi et comment?
Je pensais que la majeure partie de mes infiltrations provenaient des descentes de gouttière qui auraient été cassée, mais après les avoir mises à jour force a été de me rendre compte que ce n'était pas le cas: les évacuations sont intactes. Et ça c'est la merde parce que l'eau vient du terrain et supprimer la cause sera plus compliqué.
Pour étanchéifier totalement les murs il faut pour cela repasser sous les fondations de la maison, c'est donc un travail que devra réaliser un professionnel parce que moi je ne prends pas le risque de faire s'effondrer la maison, mais bon, je me dis que si je place une bâche sur une profondeur suffisante je pourrai freiner cette infiltration qui me casse les c***lles. D'autant plus que notre véranda n'a évidemment pas de fondations et que pour pouvoir réaliser correctement les travaux d'étanchéité je dois démolir ladite véranda, ce qui attendra encore quelques années. En attendant j'ai injecté les murs d'une résine qui est supposée créer une barrière aux remontées capillaires dans les murs, le résultat ne sera visible que dans 4 mois.
Notre terrain étant en (légère) pente l'eau de pluie est ramenée vers la maison par gravité; on peut donc ralentir cet apport - si pas le stopper- en créant une barrière avec un drain évacuant l'eau vers une citerne ou les égouts. Plusieurs solutions s'offrent à moi, j'ai pas encore arrêté mon choix définitif, cependant une chose est sûre : si je veux placer un drain je dois faire sauter la dalle de béton entourant la maison.
Le chemin longeait la maison en partant de la rue et faisait totalement le tour à l'arrière.
J'ai donc pris un jour de congé et loué un (gros) marteau piqueur et je me suis mis à l’œuvre.
Petite découverte: un ancien pavage en brique sous le béton et une rigole en béton armé:
A la fin du jour 1 je me suis rendu compte que j'aurais besoin d'un jour 2 pour faire sauter le béton. Neuneu est venu me filer un coup de main pendant quelques heures - ou plutôt filer des coups de masses sur tout ce qu'il trouvait. On en a profité pour faire partir le mur de plaques de béton qui longeait le chemin.
J'ai aussi réquisitionné mon petit frère Julien pour évacuer les matériaux, au total ça nous a pris 3 jours.
Voilà le résultat de nos efforts:
On avait loué un conteneur pour l'évacuation, on l'a rempli entièrement et on n'a pas fini le déblayage, je crois qu'il reste environ 1/4 des déchets.
Bref c'est pas fini, mais c'est déjà pas mal.
Pour y remédier j'ai décidé 1) d'isoler la maison par rapport au sol environnant et 2) de placer un drain périphérique. Pourquoi et comment?
Je pensais que la majeure partie de mes infiltrations provenaient des descentes de gouttière qui auraient été cassée, mais après les avoir mises à jour force a été de me rendre compte que ce n'était pas le cas: les évacuations sont intactes. Et ça c'est la merde parce que l'eau vient du terrain et supprimer la cause sera plus compliqué.
Pour étanchéifier totalement les murs il faut pour cela repasser sous les fondations de la maison, c'est donc un travail que devra réaliser un professionnel parce que moi je ne prends pas le risque de faire s'effondrer la maison, mais bon, je me dis que si je place une bâche sur une profondeur suffisante je pourrai freiner cette infiltration qui me casse les c***lles. D'autant plus que notre véranda n'a évidemment pas de fondations et que pour pouvoir réaliser correctement les travaux d'étanchéité je dois démolir ladite véranda, ce qui attendra encore quelques années. En attendant j'ai injecté les murs d'une résine qui est supposée créer une barrière aux remontées capillaires dans les murs, le résultat ne sera visible que dans 4 mois.
Notre terrain étant en (légère) pente l'eau de pluie est ramenée vers la maison par gravité; on peut donc ralentir cet apport - si pas le stopper- en créant une barrière avec un drain évacuant l'eau vers une citerne ou les égouts. Plusieurs solutions s'offrent à moi, j'ai pas encore arrêté mon choix définitif, cependant une chose est sûre : si je veux placer un drain je dois faire sauter la dalle de béton entourant la maison.
J'ai donc pris un jour de congé et loué un (gros) marteau piqueur et je me suis mis à l’œuvre.
Petite découverte: un ancien pavage en brique sous le béton et une rigole en béton armé:
A la fin du jour 1 je me suis rendu compte que j'aurais besoin d'un jour 2 pour faire sauter le béton. Neuneu est venu me filer un coup de main pendant quelques heures - ou plutôt filer des coups de masses sur tout ce qu'il trouvait. On en a profité pour faire partir le mur de plaques de béton qui longeait le chemin.
J'ai aussi réquisitionné mon petit frère Julien pour évacuer les matériaux, au total ça nous a pris 3 jours.
Voilà le résultat de nos efforts:
Plus de barrière bleue moche!
On avait loué un conteneur pour l'évacuation, on l'a rempli entièrement et on n'a pas fini le déblayage, je crois qu'il reste environ 1/4 des déchets.
Bref c'est pas fini, mais c'est déjà pas mal.
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